Aquarelles de Lescar

Aquarelles de Lescar

Lescarienne, j’ai peint mes premières aquarelles en plein air dans la cité béarnaise. Car, ancienne capitale et ancien évéché du Béarn, la ville offre des vues très intéressantes et très diverses à aquareller. Egalement, Lescar dispose d’une grande variété de sujets. En effet, ils vont du patrimoine historique au patrimoine industriel sans oublier un environnement paysager riche. Car, des espaces aménagés pour l’accueil du public cohabitent avec des zones environnementales préservées ou avec des terres agricoles cultivées ou destinées à l’élevage.

Neige sur le Bilaà, Lescar, Béarn (64 – France), aquarelle de Cécile Van Espen, posée sur papier Hahnemühle 425 et au format 29,5 x 40 cm, janvier 2023
Tour des remparts, Lescar, Béarn (64 – France), aquarelle peinte in situ par Cécile Van Espen, aquarelliste. Donc, posée sur papier 425 g/m2. Et, au format 29,5 x 40 cm. Enfin, datée du 8 octobre 2022
Lescar, rue Henri-Rosier, parvis de l’ancienne cathédrale, Béarn (64 – France) aquarelle in situ de Cécile Van Espen, posée sur papier 425 g/m2 et au format 29,5 x 40 cm, novembre 2022

Aquarelliste, avec mon moyen d’expression favori, je développe une grande attention vis à vis de mon proche environnement. De plus, je suis très attentive au patrimoine. Mais aussi à l’écoute de valeurs écologiques et des concepts alter-mondialistes. De ce fait, je pense que l’Art permet la diffusion de notions essentielles en faveur d’une société plus respectueuse de l’Humain et de la planète Terre.

Adepte de l’école de la vie, aquarelliste depuis l’adolescence je me suis auto-initiée à l’aquarelle. Par le biais de rencontres, qu’elles soient humaines ou environnementales, je me suis enrichie. Et, aujourd’hui, je souhaite aller au-delà par la transmission de ma passion et de ma pratique telles que je les ressens.

Car, je cherche à saisir le dialogue intime qui se créée entre les éléments architecturaux et paysagers. Aussi, je les observe au cours des saisons ou des ans. De plus, je les lis au fil des siècles. De même, en quête de l’épure, à fleur de pinceau, je retranscris les mouvements que je perçois. Ainsi, ils donnent sens à ma perception de la vie.